Nous recevons Manuel Cervera-Marzal, philosophe et sociologue, qui
publie "Post-vérité. Pourquoi il faut s'en réjouir" (Le Bord de l'eau).
Faut-il craindre l'avènement de la post-vérité ? La première vertu d'un
citoyen n'est-elle pas de savoir mentir et de déformer la réalité pour
la transformer ?
La post-vérité pourrait-elle finalement s’avérer
bénéfique à la démocratie ? C'est ce que défend l'invité de la Grande
Table des idées, le philosophe Manuel Cervera-Marzal, pour son essai Post-vérité. Pourquoi il faut s'en réjouir, qui vient de paraître aux éditions Le Bord de l'eau.
La post-vérité peut-elle s’avérer profitable ? Comment la démocratie
peut-elle bénéficier de ce nouveau rapport aux faits moins déterminants
que les opinions personnelles ? Et si la post-vérité était le première
des contre-vérités … C’est le parti pris de notre invité, auteur
précédemment de Les Nouveaux désobéissants : citoyens ou hors la loi, aux éditions Le Bord de l’eau.